1 - Introduction à la psychologie du climat (Waa le titre stylé) 2 - Humains et pigeons, même combat ? 3 -
Le grand dilemme climatique…
Concernant le climat, on a été très franc, on s’est dit beaucoup de choses ! On s’est aperçu qu’il y avait un gros problème sur le climat, et on a vu que nous, les êtres humains, sommes la cause du problème. Hep, non, les êtres humains ne sont pas la cause du problème !! Sinon, ça voudrait dire que la seule solution pour régler le problème serait d’éliminer une partie de la population.
Je ne sais pas si vous avez déjà vu iRobot… Dans ce film, des robots intelligents se mettent à tuer des êtres humains… pour prendre soin de l’humanité ! Tarés les robots ? Non, ils sont en fait tellement intelligents qu’ils ont compris qu’on était en train de s’autodétruire 😛 . Mais heureusement Will Smith est là et il les casse, ces vilains robots ! Et si on lui demandait quel est le fond de sa pensée, il nous dirait sûrement que ce sont certains de nos comportements qui sont la cause du problème climatique, et non pas notre présence sur Terre directement. C’est ce que les robots n’ont pas bien compris, et en fait ça change tout ! Cela veut dire qu’en adaptant certains de nos comportements on peut éviter un gros dérèglement de notre climat. Il semble maintenant que le coeur du problème soit justement d’adapter nos comportements. On a bien vu que ça n’avait pas l’air très fun de devoir prendre soin du climat, parce que ça voulait dire que nos comportements du genre acheter le nouvel iPhone dès qu’il sort, ou aller 3 fois par an en République Dominicaine, et bien il allait falloir s’en passer de plus en plus… 😕
Je vous sers un peu de psychologie ?
Alors, que faire, que faire ? Il va être temps de se pencher un peu sur notre psychologie pour comprendre pourquoi il est si difficile pour nous de se retenir d’acheter le dernier écran plat, ou de se retenir de manger 4 hamburgers par semaine… D’un côté, la partie rationnelle et écolo qui sommeille en moi veut un climat qui ne déconne pas trop, qui ne détruise pas les forêts de chez ma grand-mère, qui n’inonde pas ma maison, qui ne fasse pas mourir de soif les personnes âgées autour de moi… Mais en même temps, la partie cool qui est en moi aimerait bien pouvoir s’acheter le dernier iPhone quand j’en ai envie ! C’est ce qu’on appelle un dilemme. Et j’expliquerai dans la section psychologie pourquoi il est si dur de sortir de ce dilemme par la bonne porte (héhé, quel suspense insoutenable ! 😛 )
En Introduction à la psychologie du climat (Waa le titre stylé), je me suis simplement demandé ce que voulait dire « comprendre ». Comprendre ce qui nous entoure nous permet de faire des choix éclairés par l’expérience, soit personnelle, soit celle des autres, qui nous est transmise par ceux qui nous entourent ou par les choses qu’on lit par exemple.
Mais la connaissance ne suffit pas à ce que nous fassions vraiment les bons choix, même si nous disons vouloir les faire. C’est l’une des difficultés quand on veut changer certains de nos comportements qu’on n’aime pas en nous : « Oui j’ai bien compris que changer améliorerait ma vie, mais j’ai la flemme; je le ferai plus tard ! » J’ai commencé à explorer ce genre de dilemme dans « Humains et pigeons, même combat ?«